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[g][u]Loi Sapin 2 qui permettrait de bloquer les fonds d'une assurance vie à la banque et qui permettrait de diminuer le taux d'intérêt de cet assurance vie jusqu'à 0%:[/u][/g] [url http://www.lesechos.fr/finance-marches/banque-assurances/0211329190634-assurance-vie-ce-que-la-loi-sapin-ii-pourrait-changer-pour-les-epargnants-2030388.php] [g][u]desormais-une-banque-pour-se-renflouer-pourra-ponctionner-les-comptes-de-ses-clients[/u][/g] [url http://www.medias-presse.info/lordonnance-est-passee-en-france-desormais-une-banque-pour-se-renflouer-pourra-ponctionner-les-comptes-de-ses-clients/42401] Pas de débat, pas de loi, une simple ordonnance. La directive est passée inaperçue dans le creux de l’été. Si votre banque fait faillite, elle pourra se renflouer en aspirant vos comptes, sans plus de façons. Photo: Wolfgang Schaüble, ministre des Finances allemand. Il s’agit de la « Directive européenne sur le redressement des banques et la résolution de leurs défaillances » (Bank Recovery and Resolution Directive). D’abord expérimentée à Chypre où les comptes ont été largement siphonnés, la mesure est désormais applicable en France depuis le 20 août. Elle est passée en douce par ordonnance. Imaginez le tapage si une loi était venue devant le Parlement! Depuis que les Français ont mal voté en rejetant la Constitution européenne par référendum, il n’y a plus de référendum. C’est la même chose pour les lois gênantes! En l’occurrence on imagine bien que le lobby bancaire tenait à la plus grande discrétion de même que le pouvoir socialiste. Pourquoi s’embêter quand une simple et discrète petite ordonnance prise en catimini au cœur des vacances d’été fait parfaitement l’affaire ? Ce qui a attiré l’attention des observateurs, c’est la Commission européenne qui s’impatiente. Jeudi 22 octobre elle a annoncé qu’elle allait poursuivre devant la Cour européenne de justice les pays qui n’avaient pas encore transposé dans leur droit national la directive BRRD. Mais le pouvoir socialiste toujours zélé dés qu’il s’agit de nuire aux Français, n’avait pas attendu les menaces bruxelloises, qu’on se rassure! A la prochaine crise bancaire les épargnants pourront être acculés à la faillite, mais plus les banques! La fin du droit de propriété Lorsqu’une banque comme n’importe quelle entreprise fait faillite, les actionnaires sont solidaires, ce qui est logique, de même que les détenteurs des obligations émises par la banque. Jusque-là, rien de nouveau. Mais la nouveauté de cette directive « BRRD » réside dans le fait que les clients de l’entreprise bancaire vont être ponctionnés jusqu’à remise à niveau de l’affaire, ce qui est une atteinte caractérisée au droit de propriété. Vladimir Poutine dernièrement a dénoncé au forum Valdaï, une nouvelle fois, la remise en question du « Principe de l’inviolabilité de la propriété privée » qui prévaut de plus en plus au niveau mondial, avec « le précédent bien connu de Chypre ». Que s’est-il passé à Chypre ? Le système de spoliation des citoyens pour sauver les banques (ou les enrichir) a été expérimenté à Chypre en 2013, lorsque les titulaires de comptes de la plus grande banque de Chypre, la Bank of Cyprus, ont perdu autour de 60% de leur épargne au-dessus de 100.000 euros. Peu après la spoliation des déposants de la Banque de Chypre, l’Union européenne a étendu la tactique à tous les pays membres et l’a gravée dans le marbre par une loi de 2014, le Mécanisme Unique de Résolution, qui institutionnalise la ponction des comptes bancaires, sans limite, en fonction des besoins des banques. (Source) Ce qui s’est passé à Chypre n’est rien d’autre qu’un vol légal. Et ce vol légal est maintenant anticipé dans la loi française. Ce qui d’ailleurs est la preuve du peu de confiance que les oligarques de Bruxelles ont dans le système bancaire, complices qu’ils sont des Banksters ainsi que nous l’avons observé à loisir à propos de la Grèce. Normalement seuls les comptes de plus de 100.000 euros peuvent servir au renflouement, mais cette garantie n’en est pas une, tous les épargnants seront touchés. En effet à grand renfort d’annonces les eurocrates avaient rassuré les épargnants en les assurant que les dépôts de moins de 100.000 euros seraient protégés par la constitution d’un fonds. La Commission européenne avait proposé la création d’une « garantie européenne des dépôts », pour prévenir les retraits massifs et les fuites de capitaux comme cela s’est d’ailleurs passé en Grèce. Ce fonds de garantie devait être doté de 55 milliards d’euros et d’une capacité à emprunter sur les marchés. Mais l’échec de ce processus n’a pas bénéficié des mêmes effets d’annonces. Les Allemands s’y sont opposés et la protection des 100.000 euros s’est officiellement volatilisée le 12 septembre dernier, lors de la réunion de l’Eurogroupe. Elle ne pesait pas bien lourd, mais à présent elle ne pèse plus rien du tout, elle n’existe pas. Chacun doit désormais le savoir, si votre banque fait faillite, elle aura légalement le droit de se renflouer en puisant dans vos comptes, que ce soit en France ou très bientôt dans la totalité des pays européens. On ne peut d’ailleurs manquer de s’interroger sur l’empressement de la Commission européenne à faire adopter cette directive et à pourchasser les derniers retardataires, « il est extrêmement important que ces règles soient en place dans tous les États membres » explique-t-elle dans un communiqué. (…) Des personnes bien informées, à Bruxelles, craindraient-elles une prochaine crise financière et bancaire ? (Source) Êtes-vous certains qu’il est raisonnable de placer toutes vos économies dans une banque ? [g][u]Prochaine étape: le blocage des coffres?[/u][/g] Les Grecs n’ont plus accès à leur coffre en agence bancaire (et cela sera bientôt notre tour…) Les experts en vue qui interviennent dans les médias financiers alternatifs sont unanimes : si vous décidez d’acheter de l’or et de l’argent ou de retirer votre argent en dépôt et que vous ne désirez pas le conserver chez vous pour des raisons de sécurité compréhensibles, il ne faut surtout pas le placer dans un coffre à la banque. Car si le cambriolage en règle est très improbable, la confiscation (temporaire ou définitive) ou le vol ne sont pas à exclure. Et si vous en doutez, le cas grec vous fera vite changer d’avis. Si la presse lambda a amplement parlé des mesures de contrôle des capitaux qui ont été mises en place voilà maintenant plus de 2 semaines, elle n’a pas évoqué le fait que depuis cette date, les Grecs qui louent un coffre à leur banque non plus l’accès à celui-ci (article de GoldCore) : « Un contrôle des capitaux a été mis en place en Grèce depuis le début du mois afin de protéger les banques de retraits massifs de la part de Grecs de plus en plus nerveux. Ceux-ci avaient raison de se faire du mouron pour leurs économies de crainte d’un effondrement bancaire engendrant la perte de leur épargne via des confiscations ou une opération de renflouement interne. De nombreux Grecs ont également retiré leur argent de peur d’un retour forcé à la drachme. Cependant, beaucoup de gens ignorent que ceux qui avaient retiré leur argent papier pour le convertir en or et en argent physique ou le stocker dans un coffre à la banque ont également été pris dans le contrôle des capitaux draconien qui a été instauré. Cela fait des années que nous soulevons ce risque. Pas plus tard qu’en avril dernier nous avions expliqué pourquoi les gens doivent éviter d’utiliser les coffres bancaires. « Les Grecs ne pourront pas retirer l’argent qui se trouve dans leur coffre à la banque tant que les restrictions sur les mouvements des capitaux seront en place » a expliqué Nadia Valavani du ministère des Finances grecques à une télévision locale et dont Reuters s’est fait l’écho. L’article n’a pas reçu beaucoup d’attention alors qu’il été publié dans la section « Obligations » de Reuters, qui n’est pas la plus populaire et qui plus est un dimanche après-midi. (…) Cette interdiction soulève le risque de la confiscation Il est difficilement compréhensible que l’argent liquide situé dans un coffre, aussi largement utilisé pour entreposer de l’or et de l’argent physique ainsi que d’autres objets précieux, fasse l’objet des mesures de contrôle des capitaux dont l’objectif est d’éviter un bank run. Cet argent ne se trouve pas dans le système bancaire, son utilisation n’aurait donc aucun impact négatif sur celui-ci. En fait, la mise en circulation de cet argent dans le circuit économique serait bénéfique pour l’ensemble du système. La seule raison qui explique pourquoi l’argent liquide des coffres est également soumis au contrôle des capitaux, des mesures prises en concertation entre le gouvernement et les banques, s’explique par le fait que ces entités se réservent le droit de confisquer le contenu de ces coffres en cas d’aggravation de la crise. La guerre à petite échelle qui est menée contre l’argent liquide et l’or semble s’intensifier. Les gouvernements vont probablement prendre des mesures pour empêcher les épargnants et les investisseurs de retirer leur argent de la banque pour le mettre en coffre. Cette décision a peut-être cet objectif en vue. Les coffres que les banques louent sont très pratiques pour conserver une petite quantité de métal. Cependant, comme le cas grec l’illustre, l’aspect pratique et l’accessibilité en théorie aisée d’un coffre à votre agence bancaire peuvent s’avérer être une illusion : le gouvernement et les banques peuvent s’approprier son contenu d’une simple signature. Croire que la Grèce est un cas exceptionnel serait naïf. C’est en tout cas l’opinion de Marc Faber, qui a d’ailleurs averti récemment Bloomberg que nous allions bientôt vivre une expérience similaire en raison du surendettement massif de la planète. Ce même avis a été émis durant ces derniers mois par des observateurs bien placés de HSBC, Goldman Sachs et Fidelity. (…) La BCE, qui a désormais droit de vie et de mort sur la Grèce, a placé SYRIZA dans une situation intenable. Mais il ne faut pas oublier que Mario Draghi, avant d’arriver à la tête de la BCE, venait de Goldman Sachs malgré le fait que cette banque ait aidé le gouvernement grec à trafiquer ses comptes pour que le pays puisse rejoindre l’Union européenne. Certains affirment même que c’est Draghi lui-même qui s’est chargé de cette opération même s’il a démenti. (…) Comme nous le répétons régulièrement, l’or, l’argent métal et l’argent liquide avec garde dans le système bancaire n’offre aucune sécurité en cas de crise. Les investisseurs doivent garder leurs métaux précieux dans des coffres en dehors du système bancaire. (…) » Source: Or-argent.eu [g][u]Ou encore...Projet des banksters: suppression de la monnaie physique (billets & pièces) en cours…?[/u][/g] la dictature absolue des banques sur les peuples avance à grands pas. La suppression définitive de toute monnaie sonnante et trébuchante est l’aboutissement recherché. Mais il faut surmonter les obstacles pour ce faire, et là, les banksters ne manquent pas d’imagination. les banquiers planchent depuis des années sur le moyen de supprimer complètement toute liquidité, afin de mieux asservir les populations aux banques. Sans liquidités impossible d’échapper au système bancaire. Le gouvernement français a encore récemment descendu le montant en espèces par lequel les biens et services peuvent être réglés: Au nom de l’antiterrorisme, les paiements en espèces sont interdits au-delà de 1.000 euros. Et la République a également mis en place le contrôles des comptes bancaires, ce qui, pour l’instant, ne concerne qu’une catégorie de la population, mais qui pourraient s’étendre. Toujours au nom de notre bien, évidemment! Mais la France n’est pas le seul Etat a mettre en place la dictature des banksters. Au niveau mondial divers projets sont examinés dont la mise en place d’une taxe sur les espèces, ce qui conduirait les billets physiques (extérieurs aux banques par définitions) à perdre peu à peu de leur valeur pour finir par en éradiquer totalement l’utilisation. Il ne resterait plus que les paiements numériques, entièrement contrôlés par le système bancaire et donc par Big brother. Impossible, par ce moyen, de sortir nos avoirs de la banque pour en disposer selon nos envies, en toute discrétion, pour des raisons qui ne regardent que nous. Mais une règlementation pour supprimer la circulation d’argent liquide n’en exclut pas en même temps d’autres pour spolier les clients en ponctionnant directement leurs comptes bancaires, afin de renflouer la banque dont ils sont les clients, si celle-ci venait à être en danger de faillite. Le système de spoliation des citoyens pour sauver les banques (ou les enrichir) a été expérimenté à Chypre en 2013, lorsque les titulaires de comptes de la plus grande banque de Chypre, la Bank of Cyprus, ont perdu autour de 60% de leur épargne au-dessus de 100.000 euros. Peu après la spoliation des déposants de la Banque de Chypre, l’Union européenne a étendu la tactique à tous les pays membres et l’a gravée dans le marbre par une loi de 2014, le Mécanisme Unique de Résolution, qui institutionnalise la ponction des comptes bancaires, sans limite, en fonction des besoins des banques, sous le prétexte archi-hypocrite que les pertes des banques ne devraient pas être supportées par les contribuables. Comme si tous les contribuables n’avaient pas un compte en banque et comme si tous les clients des banques n’étaient pas en même temps des contribuables! Ainsi si les espèces sonnantes et trébuchantes étaient supprimées, la ponction des comptes bancaires ne connaîtrait plus aucune parade, puisqu’il serait impossible de les prévenir en retirant ses avoirs, ou en les transformant en valeurs refuges physiques, par exemple. Plusieurs banques travaillent à amener le gouvernement américain à limiter l’usage des espèces. Une des pistes explorée par La FDIC (Federal Deposit Insurance Corporation) a été publiée en décembre 2012 dans un document qui propose que tous les dépôts au-delà de 250.000 dollars soient convertis en actions, de sorte que et si ces actions venaient à baisser, le capital des épargnants concernés s’évaporerait. Extrait: Ces stratégies ont été pensées afin de rendre possible pour les firmes complexes et transnationales d’être refinancées sans que soit menacée la stabilité financière, et sans que les fonds publics n’en soient affectés. Un moyen efficace de rétablir le G-SIFI pour le secteur privé serait d’échanger ou de convertir en actions une quantité suffisante de dette non-sécurisée appartenant aux créditeurs de la société en faillite. Aux Etats-Unis, ces nouvelles actions pourraient devenir du capital pour une ou plusieurs entités opérationnelles nouvelles. Les déposants assurés n’en seront pas affectés. Les dépôts non-assurés pourront être traités de la même manière que les passifs du même type dans le cadre du processus de résolution, et pourront être dépréciés. En d’autres termes, tout passif sera susceptible d’être déprécié si une banque venait à faire faillite. Ceci ne concernerait que les établissements financiers américains et britanniques, dans un premier temps. Mais c’est ce qui s’est passé en Espagne pendant la crise bancaire de 2012. Et c’est parfaitement légal aux Etats-Unis. Ce n’est que le début d’une stratégie bien plus large de guerre contre l’argent liquide. L’objectif est d’empêcher les gens de convertir leur argent en argent physique et de les forcer à conserver leur capital au sein du système financier à tout prix. (Source) Aujourd’hui, la Norvège se dit prête à supprimer les paiements en espèces. Dans cet esprit la banque JP Morgan Chase, une des plus grosses du monde, ne permet plus de déposer des liquidités dans ses coffres. Pour leur sécurité, bien sûr. En Suède, nul besoin de loi pour faire disparaître le cash. Les banques elles-mêmes ne délivrent plus d’argent liquide à leurs clients dans la grande majorité de leurs agences locales. S’adaptant à l’évolution des habitudes de vie des Suédois qui délaissent les paiements en espèces, la plupart des magasins mais aussi des transports publics et même certaines églises se sont équipés d’appareils permettant les paiements par carte bancaire. Dernier exemple en date de l’abandon du cash: l’automne dernier, les sans-abris qui vendent le magazineSituation Stockholm dans les rues de la capitale suédoise ont été dotés de lecteurs de cartes. (Source) L’Allemagne n’est pas en reste où l’économiste Peter Bofinger cité par Spiegel , déclare : « Avec les possibilités techniques, les pièces de monnaie et les billets, aujourd’hui, sont en fait un anachronisme ». En France La grosse presse milite comme ailleurs pour la dématérialisation de la monnaie, et développe tous les arguments possibles pour vanter les avantages du système de paiement numérique. Le paiement en espèces ne serait plus que la marque des esprits arriérés. Et quel meilleur moyen pour convaincre les lecteurs que de ridiculiser une France très en retard et complètement ringarde dans le développement de ses systèmes de paiements? Bien d’autres arguments en faveur de la suppression des espèces sont mis en exergue, mais la chasse aux fraudeurs fiscaux est leur préférée; la fraude fiscale semblant être devenue le premier de tous les crimes, à côté duquel les crimes de sang ne sont que broutilles. Sauf que là encore, tout le monde n’est pas logé à la même enseigne, la chasse à la fraude fiscale est seulement pour ceux qui n’ont pas les moyens de brouiller les pistes bancaires, de profiter de paradis fiscaux, de s’installer dans des pays plus propices, de faire du chantage à l’emploi au fisc, ou d’avoir des amis bien placés, très influents, etc. Une loi existe qui oblige les banques à délivrer des espèces en France. Mais que vaut une loi ? Quand il est si facile d’en changer ? C’est un rappel brutal de ce que nous sommes devenus : des consommateurs, rien de plus. Des consommateurs qui, pour consommer doivent le payer de leur travail pour lequel on leur alloue de quoi faire valoir le droit à consommer. L’argent du travail ne représente que le droit à consommer et il semble que les vrais propriétaires de l’ensemble argent-produits à consommer veulent renforcer le contrôle sur la gestion de ce binôme, l’homme devenant un simple paramètre. Ce qui semble être un bon plan, est en fait plus que cela, mais pour les banquiers. C’est même un plan d’enfer, grâce auquel ils pourront gérer toutes les crises. En passant au tout numérique en matière de mode de paiement, ils pourront augmenter ou ralentir la consommation selon la conjoncture économique. Selon Zero Hedge, il suffit de taxer les avoirs pour inciter à la dépense et inversement. Les jalons ont déjà été testés à Chypre et posés sans aucune résistance. (Source: Réseau International)
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