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http://lesmoutonsenrages.fr/2016/06/02/budget-des-communes-une-deputee-lr-crie-a-la-plus-grande-faillite-de-france-et-elle-a-presque-raison/ Une députée des républicains, Laurence Arribagé, n’a pas vraiment fait dans la dentelle en parlant du budget des communes: “Les Français doivent savoir que depuis quatre ans vous organisez méthodiquement la plus grande faillite de France celle de nos 35.800 communes”. Elle a presque raison, mais elle n’a expliqué qu’une infime partie du problème, car cela ne touche pas « les communes » françaises qui se plaignent des baisses de dotations, mais l’ensemble des collectivités françaises donc les communes, mais aussi les départements, les régions, les métropoles (qui vont faire « plouf » au niveau budget), mais aussi les hôpitaux, et j’en passe… Pourquoi? Car la baisse des dotations n’est qu’une des pièces du puzzle, le gros problème qui bizarrement n’est jamais dénoncé par nos politiques, reste les emprunts toxiques, un rappel sur le sujet est fait plus bas. “Les Français doivent savoir que depuis quatre ans vous organisez méthodiquement la plus grande faillite de France celle de nos 35.800 communes”, a lancé mercredi au gouvernement la députée LR Laurence Arribagé, alors que la baisse des dotations de l’Etat est au centre de ce 99ème et dernier congrès de maires avant la présidentielle de 2017. “Contrairement à ce que vous indiquez dans votre question, les budgets des collectivités ne sont pas en baisse, puisque la progression de leurs recettes fiscales comble la diminution des dotations de l’Etat”, lui a répondu la secrétaire d’Etat au Collectivités territoriales, sous les protestations de la droite. Estelle Grelier a également avancé un “renforcement des dispositifs de péréquation”. Source et vidéo sur BFMtv Oui, la faillite va être généralisée, totale, et est maintenant inévitable! L’Essonne cumule un milliard d’euros de dette, affronte la baisse des dotations de l’Etat et devrait augmenter l’ensemble des taxes qu’il prélève de 29% selon Le Parisien. François Durovray, président du département, demande « des efforts partagés pour sortir de cette situation délicate« . […] « Les agents risqueraient de perdre les primes auxquelles ils ont droit, ils risqueraient une application rapide, brutale (sic) des 35 heures« , indique le nouvel élu sur BFM TV. Eh oui, les bienheureux agents territoriaux de l’Essonne travaillent 30 heures par semaine. Mais eux aussi seront victimes de la faillite publique… Petit à petit se révèle comment la France va faire faillite. Faillite des départements, mutuelle santé obligatoire, érosion des points de retraite, hausse des impôts locaux, taux négatifs : voici les multiples formes insidieuses de défaut de notre pays. Le budget 2016, intenable, révèle : – Un dramatique creusement entre dépenses (296 milliards d’euros) et recettes de l’Etat (221,5 milliards d’euros) soit 33% de dépenses excédentaires – Un ratio dette sur recettes fiscales supérieur à 9 (ou 900% si vous préférez) Notre pression fiscale, déjà une des plus élevée d’Europe, limite toute marge de manoeuvre. Une des façons qu’a trouvé l’Etat pour commencer à se défausser de ses obligations consiste à réduire les dotations aux régions. Ce qui se traduit bien sûr par une augmentation de vos impôts locaux. Source et suite sur La-chronique-agora.com Le chef de gang nous a dit que la France allait mieux, et l’ensemble de ses bras droits plus mafieux et malhonnêtes sur certains points que ne le seraient les hommes de Don Corleone couvrent tous le mensonge, le fait que le pays est non seulement en faillite suite à la mise en place de plusieurs systèmes permettant la fuite de capitaux du pays, mais qu’en plus, si dans les communes françaises, si les impôts locaux explosent, ce n’est pas seulement à cause des baisses de dotations, mais aussi à cause des emprunts toxiques que personne dans ce gouvernement n’a jugé bon de combattre!!! Un rappel s’impose: Les emprunts toxiques sont phénoménaux, comment une telle escroquerie, d’une telle ampleur, a-t-elle pu passer dans un pays comme la France? Demandez à nos politiques, ils sauront peut-être vous répondre, s’ils en ont le courage. Le scénario est simple, proposer un maximum d’emprunts « toxiques sécurisés » aux collectivités françaises, augmenter les taux d’intérêts, pousser les collectivités à se saigner un maximum pour payer sans pouvoir se défendre, et continuer à faire le maximum d’économies notamment en licenciant des employés, tout cela pour détourner l’argent. Impossible? Et pourtant, c’est e qui est arrivé… Des emprunts ont été proposés à un grand nombre de communes, de départements, de régions, d’institutions et d’établissements à travers le pays avec la même promesse: de gros avantages à la clé dont sur les taux d’intérêts. Le souci, c’est que ces taux d’intérêts étaient variables, et lorsque la victime est coincée, les taux explosent. L’ensemble des collectivités se sont donc retrouvées prises à la gorge financièrement parlant suite à de fausses promesses, et ont commencé à se retourner par voie de justice contre les banques, sachant que celles qui se faisaient de gros profits étaient entre autres la Goldman Sachs, la JP Morgan, la RBS, la Dexia… image: http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2015/01/carte-emprunts-toxiques-dexia.jpg image: http://lesmoutonsenrages.fr/wp-content/uploads/2015/01/carte-emprunts-toxiques-dexia.jpg carte-emprunts-toxiques-dexiaCarte des emprunts toxiques en France de la Dexia, et uniquement de la Dexia, imaginez en y ajoutant toutes les autres banques… Source de la carte: Impots-economie.com Ces «emprunts toxiques» sont vendus, non seulement par des banques d’affaires étrangères telles que la Royal Bank of Scotland (RBS) ou la Deutsche Bank, mais surtout par des banques usurpant la bonne réputation de la Caisse des dépôts et consignations (CDC), telles que Dexia Crédit Local (dont la CDC possède 17,6%) et Natixis, assignées devant les tribunaux par un nombre croissant d’élus de collectivités locales acculées à des réductions budgétaires dramatiques, voire à la faillite. En France, de nombreuses collectivités territoriales, de droite comme de gauche, petites ou grandes, sont embourbées dans ce type d’emprunts toxiques. 5.500 collectivités locales et établissements publics français ont souscrit des emprunts toxiques entre 1995 et 2009, selon un document confidentiel de la banque Dexia crédit local (DCL), dont a fait état Libération le 20.09.11. sic… Et les grands gagnants sont : Mais le grand gagnant de l’opération n’est pas Dexia crédit local (DCL), car elle s’était à l’époque couverte en revendant ces emprunts à des grandes banques internationales dont JP Morgan, Goldman Sachs et Royal Bank of Scotland. Du coup, Dexia n’a même plus le pouvoir d’offrir une alternative à ses clients. Au final, les 3,9 milliards d’euros d’intérêts iront dans la poche des banques internationales. Et on voit mal pourquoi JP Morgan (712 millions d’€uros ), Royal Bank of Scotland (676 millions), Goldman Sachs (507 millions) et les autres, décideraient de renoncer à leurs gains. Source et article complet sur Archives-lepost.huffingtonpost.fr Soit-dit en passant, l’état français est actionnaire dans la banque Dexia qui est en faillite depuis longtemps, et si la Dexia touche de l’argent entre autre grâce aux emprunts toxiques, ce sont également les caisses de l’état qui se remplissent. Les collectivités ont donc commencé à se retourner contre les banques, et le gouvernement pour qui « la finance est l’ennemie intime » se devait de réagir, ils ont proposé des aides financières, des rallonges à condition d’abandonner toute poursuite devant les tribunaux des banques, alors que ces emprunts ont été reconnus comme étant illégaux!!! Les collectivités se sont retrouvées au bord du gouffre, les banques ont alors été protégées par le gouvernement socialiste qui ont fait passer une loi pour protéger les banques de toute attaque: Les élus locaux crient au scandale après que l’État a fait voter une loi leur enlevant leur principal argument de recours contre les banques dans ce dossier à 17 milliards. David contre Goliath! Dans la guerre qu’ils ont lancée contre les banques, les élus locaux viennent de perdre une bataille. Avant la crise, de nombreuses collectivités se sont endettées en souscrivant des emprunts dont les taux d’intérêt étaient libellés en devises étrangères ou en matières premières. Des emprunts qui sont vite devenus «toxiques», les taux souscrits grimpant en flèche et entraînant des niveaux de remboursement insurmontables pour les collectivités fragiles. En juillet, le Conseil constitutionnel a validé une loi protégeant les banques de multiples recours. Avec ce texte, un établissement ne pourra plus se faire condamner pour ne pas avoir mentionné ou avoir mal mentionné le taux effectif global (TEG, mesurant le coût total du crédit) ou d’autres indicateurs (taux de période, durée de la période) dans les documents échangés avec un client. Les communes, départements et régions se voient donc désormais privés d’un argument d’attaque efficace, qui avait permis à plusieurs collectivités de gagner des procès face aux banques. Source et article complet sur Le Figaro Le 15 Janvier 2015, la Suisse a abandonné la parité franc/euro, jusqu’à ce jour, un franc suisse plafonnait à 1,20 euro, mais avec l’abandon de cette parité, cela à entrainé un maximum de vagues qui ont empiré l’endettement des collectivités: Le 15 janvier dernier, la Banque centrale suisse a décidé brutalement de renoncer à maintenir le cours plafond de 1,20 franc suisse pour 1 euro. La réaction des marchés des changes a été immédiate : le même jour, le franc suisse s’envole et 1 euro s’échange contre 0,9944 franc suisse. Si cette envolée du franc suisse a eu pour conséquence un net recul de la Bourse de Zurich, de l’ordre de 8,7 %, les entreprises exportatrices suisses, les hedge funds et les riches particuliers spécialisés dans la spéculation sur le marché des devises n’ont pas été les seules victimes de ce changement de politique. Plus près de nous, en France, des collectivités locales, des hôpitaux publics et des organismes de logement social piégés par des emprunts toxiques dont le taux est indexé sur l’évolution de l’euro et du franc suisse, sont frappés de plein fouet. Plus sur Mediapart Si les impôts locaux augmentent autant, c’est donc AUSSI à cause des emprunts toxiques qui sont un véritable scandale d’état, le gouvernement à autorisé la spoliation des villes, régions, départements et hôpitaux du pays tout en protégeant les banques! L’arnaque n’est-elle pas géniale? Des milliards de détournés au profit des banques intouchables, certaines régions ne sont même plus en mesure de verser le RSA, et des taux qui montent, qui montent… Et cela passe comme dans du beurre! Pourtant, il y a des solutions, dont celle-ci. Cet argent pourrait être utilisé POUR LA FRANCE, il ne fait que fuiter vers des groupes privés et rarement situés en France. Et comme si cela ne suffisait pas, si les capitaux sont détournés afin d’affaiblir le pays, il faut également les empêcher de rentrer, ce que nous connaissons sous le nom de scandale Luxleaks. Comment juger une personnalité politique en France… Elle a le courage de parler de certains problèmes, si elle ne dit rien, alors elle est complice de ces problèmes! Ne connaissez-vous pas l’expression « qui ne dit mot consent »? C’est le problème avec cela, c’est le problème avec la loi Macron2/El Khomri, c’est le problème avec tout ce qu’il se passe dans ce pays. Partez d’un principe, si le candidat que vous soutenez ne parle pas des véritables problèmes comme ceux cités ci-dessus, alors considérez-le comme non-fiable, point, on passe au suivant et on recommence! Nos politiques ne bougeront pas, nos élus non plus, c’est avant tout au peuple de bouger, encore faut-il qu’il soit informé, malheureusement….
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